La tête dans le ciel et les yeux dans les nuages, je respire ton odeur jusque dans mon oreiller, à la recherche de souvenirs inventés, de moments perdus à jamais, dans le bas de l'escalier blanc, en attendant la faux.
Comme nulle part, et pour toujours, les images arriveront par centaine pour me faire croire aux esprits, avec les coeurs, heureux de n'être que rouges.
Les couleurs se rassembleront pour graver sur mon bras ce qui est vrai, et ce qui ne s'est jamais passé. Car dans ma tête, il y a et il y aura toujours les images de ceux qui sont morts de chagrin, perdus dans les détours de tes hanches.
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